• L'expression « décrochage scolaire », assez à la mode dans le milieu éducatif français, provient en fait du ministère de l'éducation du Québec. Il est important de noter que même si les thématiques sont proches il n'est pas possible d'assimiler le « décrochage scolaire » à l'« échec scolaire » : le décrochage scolaire est l'expression ultime de l'échec puisqu'il s'agit de la sortie d'un cursus avant l'obtention du diplôme.
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• Une typologie du décrocheur scolaire a été élaborée par Janosz (1994). Cet auteur propose des repères pour le dépistage de jeunes décrocheurs potentiels, de même que des pistes d’intervention en conformité avec les besoins de chacun. Quatre types de décrocheurs sont présentés, regroupant chacun des caractéristiques particulières. Les décrocheurs inadaptés Les décrocheurs discrets Les décrocheurs désengagés Les décrocheurs sous-performants
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• LE DÉCROCHAGE scolaire fait couler beaucoup d’encre. Les médias rapportent des taux d’abandon dépassant les 50 % dans certaines écoles (La Presse, 4 janvier 2002 ; MEMO, 2002) et la moyenne québécoise se situerait près de 32 % (MEQ, 2002). Un tiers des jeunes quittent un système dont ils sont pourtant l’unique raison d’être… il y a effectivement de quoi se questionner !
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• La construction de l’absentéisme comme problème scolaire et social prend racine dans les fonctions de garde de l’école, à l’origine même de l’école obligatoire. Il concerne entre autres la protection de la société que l’on retrouve dans les réactions face à la délinquance juvénile, le jeune absent de l’école étant alors perçu comme dangereux. En France, à la fin des années 1970 et dans les années 1980, l’absentéisme est redevenu une source de préoccupation. Les rapports de l’Inspecteur Général à la vie scolaire, Tallon, étudiant pour la première fois la violence en milieu scolaire en 1978-1979 utilise l’absentéisme comme indicateur, déjà donc clairement corrélé à la violence. Le problème de l’absentéisme scolaire a intéressé de façon plus intense les pouvoirs publics à partir de 1999. Le ministère de l’Education nationale a alors déclaré prioritaire la lutte contre le décrochage scolaire, non plus seulement au niveau du lycée, particulièrement professionnel, mais aussi des collèges et écoles.
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• Chargé de projets et administrateur de comportement.net, Monsieur Alain Doucet vous présente les mises à jour du site internet www.plandintervention.net. Le plan d’intervention demeure un outil clinique de référence et de choix dans la concertation et la collaboration entre les agents scolaires, les parents et l’élève qui est le principal acteur du plan d’intervention. Plandintervention.net s'entoure de professionnels de l'éducation travaillant directement dans les milieux scolaires pour mieux assurer un contenu des plus intéressant et à la fine pointe de l'actualité. Nous venons de compléter la mise à jour de notre site www.plandintervention.net. Nous vous invitons à naviguer sur celui-ci et découvrir de l'information à jour portant sur le plan d'intervention adapté de l'élève.
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• De graves atteintes narcissiques Il s’agit d’enfants L’échec est précoce Des enfants déjà fragiles L’école est au cœur des valorisations des enfants Les mécanismes défensifs induits Le refoulement La régression Le déplacement La compensation fantasmatique La dénégation L’identification à l’agresseur
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• Depuis plusieurs années, les pays occidentaux découvrent avec étonnement que les enfants repérés et signalés en échec scolaire sont des illettrés potentiels . Ainsi 10% des enfants n'ont pas une maîtrise suffisante du langage écrit à leur entrée en 6ème. Ce constat a amené un certain nombre d'initiatives de recherche, de formation et de prises en charge afin de prendre ce fléau à sa source, c'est à dire au moment de l'apprentissage de l'écrit et même avant, à l'école maternelle et dans cercle familial, ceci, dans la lignée du travail et des recherches entreprises par les orthophonistes et autres spécialistes(psychologues, linguistes, pédopsychiâtres..etc) depuis 30 ans(par exemple les travaux de L.Lentin, de S. Borel-Maisonny).
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• Dans notre approche d’élaboration de propositions d’intervention éducative pour l’élève qui risque de tomber dans des situations de passivité ou d’absentéisme scolaire nous avons détecté trois aspects cruciaux. Le premier d’entre eux serait la nécessité d’anticipation. Le second aspect significatif se réfère à l’analyse ou au diagnostic même, c’est-à-dire, comment résoudre la sélection d’indicateurs nécessaires à l’exploration, à un éventuel diagnostic des sujets à risque dans la production de conduites absentéistes. L’intervention éducative sur des élèves à risque théorique d’absentéisme est le troisième grand problème posé.
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• Dans la foulée de la recherche de solutions pour prévenir l'abandon scolaire, un organisme communautaire a conçu une intervention fondée sur le mentorat. Ce terme désigne une relation d'aide individuelle entre un adulte bénévole et un jeune à risque d'abandon scolaire. L'étude vise à décrire l'intervention et à en évaluer l'impact auprès d'élèves à risque repérés par les enseignants.
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• Pour comprendre et prévenir les processus de déscolarisation, la direction de l'Enseignement scolaire du ministère de l'Éducation nationale, de l'Enseignement supérieur et de la Recherche a été parmi les commanditaires d'un programme interministériel de recherches sur cette question. Une synthèse générale, des résumés des rapports des différentes équipes de recherches et les rapports complets ont été mis en ligne sur le site interministériel et sur le site ÉduSCOL peu après sous le titre : Programme interministériel de recherches sur " Les Processus de déscolarisation"
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• Le décrochage apparaît comme un indicateur de la qualité d’adaptation sociale des individus. Phénomène ancien, son caractère d’urgence est lié, dans un contexte difficile d’accès à l’emploi, aux risques de troubles personnels ou d’entrée dans la délinquance qui peuvent l’accompagner.
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• L'expression « décrochage scolaire », assez à la mode dans le milieu éducatif français, provient en fait du ministère de l'éducation du Québec. Il est important de noter que même si les thématiques sont proches il n'est pas possible d'assimiler le « décrochage scolaire » à l'« échec scolaire » : le décrochage scolaire est l'expression ultime de l'échec puisqu'il s'agit de la sortie d'un cursus avant l'obtention du diplôme.
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• Le programme Alternative Suspension du YMCA du Grand Montréal remporte un succès certain dans la métropole et ses environs. L’initiative inspire même d’autres villes québécoises et canadiennes qui pourraient bientôt offrir le programme aux élèves qui se retrouvent exclus temporairement de leur école.
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• La connaissance que j'ai des étudiants décrocheurs? C'est sûr que quand ils ont décrochés, ils sont dans la rue et je ne les vois plus... Ce que j'en sais, moi, c'est quand un étudiant après avoir décroché revient à l'école. C'est là que je peux savoir pourquoi il a décroché. Je veux savoir si la raison pour laquelle il a décroché est réglée et je veux savoir aussi en quoi je fais une très bonne affaire en le prenant à l'école. S'il ne sait pas pourquoi il revient à l'école, je ne voudrais pas lui donner la place qu'il va abandonner après trois semaines alors que je ne pourrais plus prendre quelqu'un parce que le cours est sérieux, on contrôle présence, absence, retard. Il y a des devoirs, des examens. Le prof donne un vrai cours, je ne ferai pas d'ironie sur ceux qui fonctionnent avec des fiches. Les étudiants n'en veulent pas et quand ils ne comprennent pas, ils posent des questions.
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• D’entrée de jeu, il faut savoir que notre équipe* a produit un guide d’intervention destiné au secondaire, de même qu’une formation de deuxième cycle conçue pour le personnel scolaire, portant l’un et l’autre sur les écarts de réussite entre garçons et filles au Québec. Ce constat doit être mis en parallèle avec les besoins pressants d’information et de formation adéquates remarqués chez les personnels scolaires (recherche en cours).
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• Cet article propose une interprétation de l’abandon scolaire de jeunes décrocheurs et décrocheuses du secondaire de la région de Montréal. La question de l’abandon des études est examinée sous l’angle de la socialisation différentielle des sexes. Cette lecture sert à analyser divers constats souvent paradoxaux : d’une part, les filles, désavantagées dans les rapports sociaux de sexe, réussissent mieux à l’école et l’abandonnent en moins grand nombre que les garçons; d’autre part, leur meilleure performance scolaire ne les avantage guère en termes d’insertion professionnelle et sociale. L’analyse met en évidence le fait que la décision d’abandonner l’école arrive à un moment dans une trajectoire. Cette décision dépend autant de ce qui la précède que des attentes face aux conséquences de l’abandon scolaire.
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• Question de motivation S’il faut désigner la plus récurrente des plaintes émises par les enseignants à propos du décrochage scolaire, ce sera sans conteste le défaut de motivation. S’y joignent régulièrement d’autres reproches : manque de travail, chahut, incompréhension des parents, voire soutien du jeune contre les professeurs, disqualification de la fonction, isolement face au groupe, etc.
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• C'est un sujet passionnant et surtout, préoccupant. Clément Laberge, allias Remolino, a attiré mon attention sur un article de Johanne Fortier, "S'inspirer du féminisme, plutôt que le dénigrer". Je ne sais trop si Mme Fortier réagissait à celui de Gilles Guénette, "La sous-performance des garçons à l'école : la faute des femmes ?" Peut-être. Sur le coup de la lecture, un sentiment mitigé s'est manifesté. D'une part, le titre est accrocheur et rejoint ma pensée: tout ce qui contribue à dénigrer le féminisme n'aide en rien la cause du masculin. Par ailleurs, certains passages n'ont pas rejoints ma pensée aussi efficacement ! Voici donc quelques réactions à ce texte dans le contexte où certains collègues mis au courant de ma démarche de cybercarnet vont peut-être tenter un site (de type "weblog") axé uniquement sur le partage d'expériences autour de la réussite des garçons à l'école... (en passant, une autre référence a été donnée par un certain Mathieu à propos de ce sujet. Le dossier s'appelle "L'école rose favorise-t-elle les filles ?")
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• L’abandon scolaire est un problème sans frontières qui affecte plusieurs sociétés et communautés dans le monde entier. Ses effets peuvent être très graves, contribuant à l’analphabétisme répandu, au chômage, au crime et au gaspillage des ressources publiques des états. En fait, la prolifération de l’abandon scolaire a des implications directes pour la performance économique d’une société, avec un important effet sur le PIB et sur l’augmentation des salaires.
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• Ce document a pour objectif d'illustrer à l'aide de données statistiques certains écarts de réussite entre les garçons et les filles et de partager l'état de la recherche actuelle au Québec et ailleurs dans le monde en ce domaine. Les réflexions et les données contenues dans ce document concernent les élèves de la formation générale qui fréquentent l'école primaire et secondaire, soit ceux qui poursuivent leur scolarité obligatoire. Il s'adresse en particulier aux intervenants du milieu scolaire.
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• Les écarts de réussite scolaire entre les garçons et les filles sont analysés en fonction de l'environnement socioéconomique, en utilisant quatre indicateurs : l'âge de l'élève à l'entrée au secondaire, le taux de sortie du système scolaire sans diplôme ni qualification, le taux d'obtention d'un diplôme parmi les élèves inscrits en 5e secondaire ainsi que la réussite aux épreuves officielles de français et d'anglais, langue d'enseignement. Les données présentées concernent les élèves du réseau public de l'enseignement secondaire.
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• Même si un bon nombre de garçons réussissent bien, le phénomène du décrochage scolaire les touche plus particulièrement. En effet, deux décrocheurs sur trois sont de sexe masculin. Dès le primaire, l’écart entre les garçons et les filles est notable.
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• Pour comprendre et prévenir les processus de déscolarisation, la direction de l'Enseignement scolaire du ministère de l'Éducation nationale, de l'Enseignement supérieur et de la Recherche a été parmi les commanditaires d'un programme interministériel de recherches sur cette question.
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• Le décrochage, les retards et la discontinuité du cheminement scolaire sont des réalités préoccupantes. Par exemple, en 2003-2004, la proportion des élèves de la formation générale au secondaire en retard scolaire par rapport à l’âge établi était de 26,9 %2.
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• Tout échec, chez qui que ce soit, et de quelque type qu’il soit, implique, presque par définition, une « atteinte de l’image de soi ». Mais l’échec scolaire tend à aggraver ces réactions habituelles, pour quatre raisons au moins.
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• Dans le cadre de son plan d’action 2005-2006, la Table des partenaires pour la persévérance scolaire à Montréal a produit un portrait du décrochage scolaire. Cette réalisation s’inscrit dans les orientations générales que la Table des partenaires s’était données pour la période 2003-2006.
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• L’absentéisme et la déscolarisation se déplacent de l’école vers la cité La question de l’absentéisme et de la déscolarisation, aussi ancienne que l’école publique, est aujourd’hui considérée comme un problème social relevant de l’ordre, voire de la sécurité publique : sans encadrement, que deviennent les jeunes en dehors de l’école ?
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• Le taux de décrochage est la proportion de la population d'un âge ou d'un groupe d'âge donné qui ne fréquente pas l'école et qui n'a pas obtenu de diplôme du secondaire. En d'autres termes, le décrocheur n'est ni un diplômé, ni un inscrit. Le décrochage n'est pas forcément l'équivalent de l'abandon scolaire puisque le décrochage est une interruption qui n'est pas nécessairement définitive.
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• Dans tous les cas de figure, se renseigner auprès de l'instituteur ou professeur en charge de l'enfant qui saura la plupart du temps mesurer la gravité du problème et orienter vers une solution adaptée.
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• Ce n'est un secret pour personne: la région des Laurentides présente l'un des pires bilans au Québec en matière de décrochage scolaire et de taux d'obtention du diplôme d'études secondaires. Aussi, le rapport de recherche «Que savons-nous des causes de l'abandon scolaire dans la région des Laurentides?» arrive-t-il à point nommé.
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• L’absentéisme et la déscolarisation se déplacent de l’école vers la cité La question de l’absentéisme et de la déscolarisation, aussi ancienne que l’école publique, est aujourd’hui considérée comme un problème social relevant de l’ordre, voire de la sécurité publique : sans encadrement, que deviennent les jeunes en dehors de l’école ? Sont-ils sujets à la délinquance, exposés à des trafics divers, errant dans les rues sans protection ? Leurs parents seraient-ils complices et donc punissables de l’inassiduité ou du retrait scolaire de leurs enfants ? La massification de l’enseignement secondaire, les objectifs de porter 80 % des élèves au niveau du baccalauréat et l’ensemble d’entre eux au moins jusqu’au niveau du CAP et du BEP (loi d’orientation de 1989) rendent d’autant plus visibles les arrêts de scolarité avant 16 ans. De fait, les conséquences du décrochage scolaire sont aujourd’hui plus sérieuses qu’elles ne l’étaient en période de quasi plein-emploi.
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• Plus souvent qu'autrefois, les psychologues sont consultés pour des problèmes d'échecs scolaires. De près ou de loin nous connaissons tous des enfants qui peinent à l'école, ont des performances inférieures aux capacités qu'on est en droit de leur attribuer. Le contexte actuel accentue l'angoisse parentale. Il peut y avoir résignation, il peut y avoir, inquiétude croissante, griefs voire hostilité vis-à-vis de l'enfant auquel on reproche sa paresse : "que fera-t-il plus tard ?" Les parents ont "tout essayé" et attendent année après année le "déclic", où on le verra enfin se mettre au travail, mais qui ne vient jamais.
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• Qu’est-ce que l’EPE ? Afin de partager les avancées de la psychanalyse dans le domaine de l’enfance avec tous ceux qui sont concernés par l’éducation, des parents, des pédagogues et des médecins psychanalystes ont fondé, en 1929, l’École des parents et des éducateurs (EPE).
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• Tandis qu’une grande partie du monde continue de lutter pour assurer l’accès à l’éducation universelle pour les jeunes, cela paraît paradoxal que dans beaucoup de parties du monde occidental ‘avancé’ on lutte pour empêcher les jeunes d’abandonner leurs études. Aujourd’hui, trop de jeunes gens abandonment l’école, peut-être même jusqu’à 20% d’entre eux.
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• Quotidiennement, l'équipe de Je Réussis scrute le web pour toi et rassemble les meilleures ressources disponibles en ligne pour t'aider dans tes recherches et répondre à toutes tes questions. Ainsi tu peux utiliser le moteur de recherche ci-dessous en y insérant les mots clés relatifs à ta requête ou alors consulter le centre de ressources classé par matières.
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• - Qui sont les « décrocheurs » ? - Comment le décrochage se produit-il ? Connaître ce processus est important pour bien cibler les actions de prévention et de remédiation. Travailler sur cette question implique de considérer le jeune élève dans la globalité de ses activités. Mon intervention sera avant tout basée sur deux enquêtes : · celle concernant le public des dispositifs relais · celle sur les jeunes sortis du système éducatif sans qualification, donc ayant décroché avant la fin de l’année terminale de leur cycle : 120 000, dont un quart dans le cadre de rupture de leur contrat d’apprentissage, avant tout pour des raisons comportementales. · Disons-le entre nous, travailler sur la civilité, les comportements, c’est aussi donner de fait des compétences professionnelles à certains jeunes.
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• D’entrée de jeu, il faut savoir que notre équipe* a produit un guide d’intervention destiné au secondaire, de même qu’une formation de deuxième cycle conçue pour le personnel scolaire, portant l’un et l’autre sur les écarts de réussite entre garçons et filles au Québec. Ce constat doit être mis en parallèle avec les besoins pressants d’information et de formation adéquates remarqués chez les personnels scolaires (recherche en cours).
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• L'expression « décrochage scolaire », assez à la mode dans le milieu éducatif français, provient en fait du ministère de l'éducation du Québec. Il est important de noter que même si les thématiques sont proches il n'est pas possible d'assimiler le « décrochage scolaire » à l'« échec scolaire » : le décrochage scolaire est l'expression ultime de l'échec puisqu'il s'agit de la sortie d'un cursus avant l'obtention du diplôme.
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• Le décrochage scolaire est une réalité sociale qu'on ne peut nier, dissimuler. Cette réalité prend actuellement des proportions alarmantes. Il est d'une très grande importance de questionner cette problématique sociale qui a de graves conséquences et ce tant dans la vie des jeunes que sur le plan collectif et économique. La réalité du décrochage scolaire remonte au début de l'histoire des écoles mais ce concept ne fit son apparition qu'au début des années 1970 et ce n'est que depuis la fin des années 1980 que ce sujet se trouve au cœur des préoccupations éducatives. Avant les années 1960 et 1970, beaucoup de jeunes quittaient l'école très tôt, cependant, cette réalité était "normale" puisqu'à cette époque, le travail manuel était valorisé et il fallait "gagner sa vie".
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• Si votre enfant ne réussit pas à apprendre ou s'il apprend avec plus de difficultés que les autres enfants de son âge, s'il ne peut s'intégrer à une communauté scolaire en raison de troubles du comportement ou de troubles relationnels, les parents, les enseignants vont parler d'échec scolaire. En effet, l'école a deux missions essentielles à accomplir :
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• D’emblée, il faut entendre ici le mot exclusion comme désignant, pour le dire de façon tranchante, « la part d’échec » de l’école, les limites d’une politique scolaire qui se veut légitimement démocratisante [1].L’exclusion telle que nous l’entendons dans ce dossier n’est ni une question d’élèves ni une question d’enseignants, c’est une question systémique. Elle désigne les ratés de la réussite scolaire, dont des élèves sont les victimes, manifestement, en même temps qu’ils en sont les acteurs. Tout comme les enseignants, les établissements, les familles, et au-delà « la société » dans son ensemble sont à la fois dans l’affaire acteurs et victimes à certains égards. De l’échec, de l’absentéisme ou de l’indiscipline, voire de l’exclusion prononcée en conseil de discipline, à l’exclusion au sens politique (ou problématique) du terme, il faut donc changer de focale.
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• Le terme d’exclusion s’est imposé à la fin des années 1980, et son développement au sein de l’appareil d’Etat, où il devient une clé de lecture, se fait dans la première moitié des années 1990 autour de quatre thèmes : la ville, l’école, l’emploi et la protection sociale (Fassin, 1996)1. Dans l’école, alors qu’au sens strict les « exclus » sont les élèves exclus des établissements par décision d’un conseil de discipline, le terme sert dès lors à désigner les élèves en échec scolaire. On ne saurait pour autant considérer que la problématique de l’exclusion se substitue purement et simplement à la problématique de l’inégalité des chances scolaires. La publication très récente de trois ouvrages reprenant l’interrogation sur les inégalités sociales à l’école oblige plutôt à penser leurs liens2.
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• En résumé : Parents, élèves : nous sommes tous confrontés à un moment ou à un autre à des difficultés scolaires, pour soi ou pour ses enfants. La première chose qu'il faut avoir à l'esprit, quand cela arrive, est que précisément, c'est un moment nécessaire, une crise de croissance inévitable qui doit se produire, pour permettre une maturation et le passage à une nouvelle étape de sa vie
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• La notion de réussite scolaire comporte deux dimensions qu’il est essentiel de distinguer : d’une part, la persévérance, d’autre part, le rendement. Le contenu de la première dépasse celui de décrochage scolaire pour couvrir l’ensemble de la scolarisation.
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• Le Conseil supérieur de l'éducation croit qu'il est possible de faire reculer le taux d'abandon scolaire chez les jeunes du secondaire. Dans un avis transmis fin septembre à la ministre de l'Éducation, il propose une douzaine de pistes d'intervention pour rétablir l'appartenance scolaire de l'élève et le mener jusqu'à la réussite.
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• Tout d'abord mentionnons que la mesure de l'abandon scolaire est complexe et qu'il n'y a pas de définition universelle du décrocheur. La définition retenue par le Ministère de l'éducation correspond à la mesure de non-obtention du diplôme du secondaire.
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Depuis plus d'un an, plusieurs organismes de Laval, dont la commission scolaire, ont mis leurs efforts en commun afin de soutenir la persévérance scolaire et de faciliter le retour à l'école des jeunes décrocheurs de Laval. Ils ont rendu public leur premier plan d'action récemment.

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L'auteur, professeur et praticien, présente dans ce livre à la fois des repères théoriques indispensables, des pistes d’intervention concrètes et la démarche qu’il a entreprise

La motivation scolaire. Comment susciter le désir d'apprendre ?

OZP - Observatoire des Zones Prioritaires - le Quotidien des ZEP 1ères rencontres nationales de la réussite éducative du 29 juin 2006 au stade de France, RER B station Saint-Denis - Stade de France

Rencontre nationale « réussite éducative »

• Un navigateur internet s'adressant aux jeunes / ados voulant se divertir ou s'informer sur internet.
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• A Laval, 3000 jeunes sont sans diplôme et ne fréquentent pas l'école. C'est pourquoi la Commission scolaire de Laval et les différents partenaires de la région se sont donné comme objectif de structurer et de consolider leurs actions avec la signature d'un protocole d'entente et la réalisation...
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• Article du Devoir du 17 et 18 décembre 2005.

• Le taux de décrochage scolaire au secondaire a « considérablement » diminué depuis le début des années 90, indique une recherche publiée par Statistique Canada. Ce taux est passé de 16,7 % durant l’année scolaire 1990-91 à 9,8 % pour l’année 2004-05.
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• Décrocheurs comment raccrocher

• Le taux de décrochage diminue, Article du Devoir du 17 et 18 décembre 2005. Le taux de décrochage scolaire au secondaire a « considérablement » diminué depuis le début des années 90, indique une recherche publiée par Statistique Canada. Ce taux est passé de 16,7 % durant l’année scolaire 1990-91 à 9,8 % pour l’année 2004-05.
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• Réalisé par www.monavenir.info nous Nous te présentons ici un questionnaire afin de faire une réflexion personnelle sur ton vécu scolaire. Ce questionnaire dresse un portrait de tes forces et de tes faiblesses que tu peux rencontrer à l’école. Il t’invite de plus, à faire une prise de conscience sur ton attitude ou sur ton comportement à l’école.
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• En partenariat avec comportement.net un site a été réalisé pour soutenir l'adolescent /l'adolescente dans sa recherhe de moyens à la poursuite de ses études.
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• UN DÉFI COLLECTIF À RELEVER
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Pédagogie : Décrocheurs comment raccrocher

Pédagogie : Décrocheurs comment raccrocher

Avec la Table de prévention de l'abandon scolaire de Charlevoix, c'est toute une région qui se mobilise pour prévenir le décrochage scolaire et favoriser la persévérance des jeunes dans leurs études, témoignant ainsi du fait que la réussite des élèves ne dépend pas uniquement de (...)

Pour qu'un enfant grandisse, il faut tout un village

• Fiches sur le décrochage scolaire.
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